“Les énergies du moment sont très fortes et viennent ouvrir de nouvelles portes.
Cela peut être ressenti comme une mise à nu de ce qui a besoin d’être vu & reconnu.
Le faux est démasqué au profit du vrai. Le passé peut être remercié.
Alors des conflits peuvent éclater, des contrariétés peuvent émerger, ça n’est qu’un reflet de ce qui doit être mis en lumière pour être transcendé.
« Transcender » qui veut dire faire passer la lumière à travers.
Alors si tu te positionnes et que cela déplaît: ça ne t’appartient pas, cela fait simplement resurgir des plaies du passé qui doivent être pansées.
Te positionner est un devoir, exprimer ta vérité est une nécessité.
Alors tu peux découvrir de nouvelles facettes de toi-même… cela peut être déroutant et en même temps tu es un être multi-facettes et il t’est demandé de t’accueillir et t’accepter dans tout ce que tu es & dans tous tes reliefs.
Si ça déplaît c’est ok, tant que tu restes dans ta vérité.
La seule prison est celle de la soumission.
Se soumettre à une autorité c’est encore dire oui là où cela sonne creux.
Sonne creux oui car il n’y a plus la place pour l’autorité et cela vient en dérouter plus d’un actuellement.
La hiérarchie et l’autorité ont été inventées par l’homme au profit du pouvoir.
La hiérarchie est une illusion de l’homme pour créer des “sous hommes” et des “surhommes” mais quand tu sors de toute catégorie, la hiérarchie s’effondre. Plus que ça, toutes les croyances en lien se dissolvent.
Quand chacun habite pleinement son terrain à sa juste place alors il n’y a plus la place pour la hiérarchie.
D’ailleurs ce mot a été inventé par l’homme et peut être rendu à la terre.
Oui mais alors un leader est bien dans une position de hiérarchie ?
Cela dépend. Si il est libre de ça alors tout le groupe le ressent et chacun peut habiter son terrain.
Si le meneur est encore aux prises de cette hiérarchie et de tout ce que cela représente, alors c’est le fiasco et chacun est « tributaire » du « maître ».
Etre tributaire qui est en fait accepter de trébucher sur ce qui n’est pas à soi.
Alors avec tout ça un mot : être et habiter son terrain.
Par pour le voisin, ni pour ta tante ni pour Jean-Jacques mais simplement pour être au cœur de ce que tu es venu expérimenter ici:
Au cœur de ton cœur, ce carburant sacré: celui de ta vérité
Et toi qu’es-tu venu habiter comme terrain ? »
© Océane, 2018